LA FOLLIA ORCHESTRE DE CHAMBRE D'ALSACE
LA FOLLIA ORCHESTRE DE CHAMBRE D'ALSACE

LA REVUE DE PRESSE

4 Novembre 2016

4 Novembre 2016

DNA, 6 Novembre 2016

L'Alsace, 31 Octobre 2016

DNA, 27 Octobre 2016

Revue Diapason, Août 2015

France-Musique, Rodolphe Bruneau-Boulmier, le 5 décembre 2014

 

"Hugues Borsarello joue magnifiquement les concertos pour violon de Mozart avec une belle simplicité, une grande élégance. C'est un son de violon qui fascine parce que justement on dirait que ce n'est pas du violon : on se dit qu'il est dans un opéra, qu'il est tour à tour soprano, flûte, violoncelle, basse. C'est une sorte de métamorphose continuelle.

C'est très réussi. J'espère que ce disque sera accueilli comme il convient car il mérite toutes les récompenses."

 

Les Dernières Nouvelles d'Alsace, le 3 décembre 2014

Les Dernières Nouvelles d'Alsace, Valérie Freund le 14 Septembre 2013

Les Dernières Nouvelles d'Alsace, le 18 mai 2013

 

"Les amateurs présents (au concert) ont pu profiter d’un moment musical de très grande qualité, apprécié à sa juste valeur. Les voûtes de la très belle église St-Martin ont agréablement répercuté les concerti pour violons 1, 3 et 4 de Haydn, brillamment interprétés par les artistes, au premier rang desquels Hugues Borsarello, violon solo et directeur musical. Une soirée enchanteresse et romantique, teintée d’un parfum d’Italie, où l’on a pris grand plaisir à écouter mouvements lents ou rapides, sérénades et ritournelles d’orchestre, le tout évoquant délicieusement la joie de vivre latine."

Les Dernières Nouvelles d'Alsace, le 7 janvier 2013

 

"Les Tanzmatten ont fait de nouveau salle comble ce dimanche pour le concert du nouvel-an donné par l'orchestre de chambre La Follia. Au programme de cette fin d'après-midi, trois concertos pour le violon de Mozart.

(...)Hugues Borsarello, directeur musical de cet orchestre de chambre d’Alsace, a accueilli le public avec joie et simplicité « pour ce désormais traditionnel concert de nouvel an ».

L’ensemble joue debout, libérant l’expression des corps ; Hugues Borsarello, premier violon est si absorbé par la musique qu’il fait de grandes avancées vers la partition, comme pour la pénétrer, avant de se tourner d’une pirouette vers l’orchestre qu’il dirige de l’archet, du regard, du souffle. C’est toujours avec le même bonheur et la même exigence que la Follia se produit sur scène depuis le début de sa résidence aux Tanzmatten en 2004.

Dans la salle comble, ils sont un petit groupe battant la mesure sur leurs cuisses lors de la reprise en rappel de la « turquerie » mozartienne. Et ce « moment précieux », comme le qualifie Diane, à la recherche d’émotions, les Sélestadiens auraient bien du mal à s’en passer…"

L'Alsace, JC OBER le Mercredi 12  Décembre 2012

« Le deuxième concert de l'Avent au Temple St-Etienne de Mulhouse a constitué un véritable évènement, vendredi, avec la prestation de l'orchestre de chambre d'Alsace, La Follia. L'ensemble qui est composé de 16 musiciens, dirigé par le violoniste virtuose Hugues Borsarello, avait le format idéal pour le programme qui était consacré à trois concertos pour violon de Mozart. ... On peut se douter que l'interprétation de ces œuvres se doit d'être exigeante et elle l'a été. Hugues Borsarello est l'artiste pur. Sa fougue et ses élans, ajoutés à la précision de son coup d'archet, à la beauté du son, à la finesse de son interprétation qui respecte toutes les intentions, tous les détails sont comme la voix retrouvée du génie salzbourgeois.... »

L'Alsace, Jean-Claude Ober le Mercredi  16 Mai 2012

« Il y a différentes manières d’appréhender la musique, mais là sous le charme de l’Orchestre de Chambred’Alsace, La Follia on ne peut qu’être irradié. Dans la manière de se donner, d’offrir une œuvre c’est une fantastique histoire d’amour. C’est éblouissant, virevoltant. Tout est passionné, d’une précision époustouflante, offrant alors des accents de beauté que l’on a envie de graver en soi. »

L'Alsace, le Vendredi 30 Mars 2012

« ... Dans la Symphonie Concertante pour violon et alto de Mozart, autre grand moment de ce concert anniversaire, on a particulièrement goûté le jeu précis et nerveux d'Hugues Borsarello, directeur musical de La Follia et virtuose. Il était accompagné de l'altiste Gérard Caussé, efficace interlocuteur dans un duo de haute volée. ... »

Le Journal de Saône et Loire, le Vendredi 19 Août 2011

« Pour l’ultime concert du festival des Grandes heures, l’église Saint-Marcel a connu sa plus grosse affluence, et la soirée un plein succès, sous le signe de la musique hongroise et tzigane. L’ensemble alsacien « La Follia », dirigé par Hugues Borsarello, a présenté un florilège de danses hongroises et autres musiques populaires : œuvres de Brahms, Berlioz, Bartók, ou encore David Popper, avec sa
rhapsodie hongroise pour violoncelle (soliste Thérèse Bussière-Meyer) et cordes.
 »

Le Pays, le Mardi 27 Avril 2010

« … le public n'a pas boudé son plaisir.... En ouverture, l'excellent ensemble « La Follia » a évoqué avec entrain les aventures picaresques de Don Quichotte, une œuvre très peu connue de Telemann. Un vrai délice, car les musiciens ont mimé les épisodes .... »

Dernières Nouvelles d'Alsace, le Mercredi 13 Janvier 2010

"C'est avec un sens particulier de laprésence et de la vitalité sur scène que les douze musiciens de La Follia ontcampé le décor des Tanzmatten. Des regards complices, un gestuelle dynamique sur les accents toniques et des duos qui ressemblaient à s'y méprendre à des duels.... Hugues Borsarello a pu montrer toute la mesure de son talent, tantôt sensible, tantôt enjoué, voire enlevé.... Et, cerise sur le gâteau, "God save the queen" puis variations de Paganini en bis. Un régal pour Hugues Borsarello et la salle des Tanzmatten archipleine." JJS

Dernières Nouvelles d'Alsace, le Mercredi 18 Novembre 2009

La présence de « La Follia », de retour à Saverne pour le Festival d'Art Sacré, est toujours un événement musical attendu. Les nombreux auditeurs présents à l'Espace Rohan n'ont pas été déçus dans leur attente. ... Quant au concerto pour violon de Joseph Haydn, le métier affirmé, le jeu très gracieux, avec une éblouissante partie de solo à plusieurs voix d’Hugues Borsarello, donnent de cette belle œuvre une interprétation des plus enviables, loin de l'image un peu compassée, souvent
fausse, de Haydn. Le soliste et directeur musical depuis peu de « La Follia » alterne un jeu brillant et une direction très vigoureuse.

Reutlinger General-Anzeiger, le Lundi 12 Octobre 2009

Nicol Matt hatte dem renommierten Instrumentalensemble „La Follia“ den ebenbürtigen Chamber Choir of Europe, bestehend aus nur zwölf Sängern, zur Seite gestellt. Die hochkarätigen Vokalsolisten Kirsten Blaise und Verena Krause (Sopran), Daniel Lager (Countertenor), Colin Balzer (Tenor) und Florian Prey (Bass) ermöglichten über zwei Stunden eine nuancenreiche mitreißend schwungvolle Aufführung. Dirigent Nicol Matt vermittelte seinen Mitwirkenden sichtlich Begeisterung und Musizierfreude. Lang anhaltender Beifall dankte für eine transparente Aufführung.

L'Alsace, Gilbert Mosser le Mardi 2 Juin 2009

C'est toujours un évident plaisir d'écouter « La Follia ». Légèreté, limpidité riment avec complicité, accords vifs, altiers, voire communion. ... Hugues Borsarello épate par un côté ludique, farceur, cabotin, mais bon sang quel brio! ... Il y a une tonalité La Follia, comme un brin de folie communicatif, qui répond aux sonorités slaves de Tchaïkovski. Au fil des émotions, les rythmes se chevauchent, s'appellent, se répondent.
C'est osé, déposé comme une plume d'ange sur une âme avide de vie. On imagine Piotr Ilitch Tchaïkovski, les yeux fermés, souriant de plaisir en écoutant sa Sérénade pour cordes en do majeur Op 48. Cette tension maîtrisée, sublimée, pour un public ébloui.

Dernière mise à jour : 07 Décembre 2013

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© La Follia, Orchestre de Chambre d'Alsace